Dieu des Voleurs - Ansil

Fiche des Dieux :

Nom : Ansil

Dieu du : Vol, Pillage, Rançonnage, Escroquerie

Couche : Cinquième couche : A l’intérieur des Dimensions

Planète : Numenya

Dimension : Dimension d’Ancale

Description :

Ansil, Dieu des Voleurs, des Pilleurs de tombes, des Demandeurs de rançons et des Escrocs, entre autre, est malhonnête, bien entendu. On pourrait d’ailleurs presque le qualifier de Dieu de la Malhonnêteté, en collaboration avec le Dieu du Mensonge et de la Tromperie. Considéré comme un Dieu Majeur en Laderume et comme une nuisance – au mieux – ou un danger – au pire – autre part, sauf peut être chez les Hommes des Plaines, où les voleurs de chevaux sont des gens respectés – si ils sont doués – ce qui n’est par contre pas le cas des autres voleurs. Mais il fait néanmoins son nid partout, par ce qu’il y a toujours des voleurs à un endroit ou à un autre, encore plus des escrocs. Il n’est pas un dirigeant dans le monde de Numenya qui ne soit jamais rentré dans son domaine de compétence. Il n’hésite pas à mentir pour arriver à ses fins, et on ne peut pas vraiment lui faire confiance, à moi de conclure un accord formel avec lui. Il fait partie des Dieux un peu facétieux, et il faut toujours faire attention quand on le prie : on pourrait bien être exaucé, et pas forcément de la façon dont on l’aurait voulu...

Quand on est prudent, on peut néanmoins avoir des résultats étonnants ! Ansil est en très bon terme avec la Dame de la Chance, car ses fidèles lui rendent souvent grâce en seconde option, et il sait user de ces liens pour aider ses gens ! Un Voleur va voir sa dextérité augmenter, son regard être attiré vers les objets précieux et le butin le plus juteux tomber entre ses mains. Le Pilleur de tombes va trouver l’entrer qu’il cherchait depuis trois jour, et sa capacité à éviter les pièges va augmenter... Et ainsi de suite. Par contre, et assez logiquement, il est en froid – et c’est peu dire ! – avec les Dieux de la Vérité, de la Justice et du Soleil, même si il s’entend plutôt bien avec la Déesse de la Lune, tant qu’il ne s’approche pas trop de ses affaires... Dans l’imagerie populaire, il est souvent représenté comme un homme furtif et discret, une dague ou un crochet dans une main, un sac bien remplit, visiblement d’objets hétéroclite mais précieux jeté par-dessus son épaule, retenu par l’autre main, et les croyances le désigne souvent comme un ancien mortel.

Histoire liturgique :

Laderume et Pluma :

« Il y a de cela très longtemps, Ancal le Grand choisi de marcher parmi les Humains, Ses créations d’alors, afin de voir si tout se qu’Il avait réalisé pour Ses sujets étaient vraiment au point sous tout les rapports, vérifiant que rien ne clochait dans Son monde idyllique. Bien entendu, pour ne pas être reconnu à l’instant où Il poserait le pied dans la rue, Il avait masqué Son aura Divine et avait modifié Son apparence connue par tous et par toutes. Or, alors qu’Il marchait dans les rues de la grande vie de se temps là, constatant avec plaisir que toute Son œuvre était parfaite et sans défaut, Il fut bousculer par un jeune garçon crasseux, qui s’excusa rapidement avant de repartir à toutes jambes. Sur le moment, Il n’y prêta pas attention, mais plus tard, quand Il voulu s’acheter quelque chose à manger pour calmer Son estomac que le subterfuge avait creusé, Il se rendit compte qu’Il n’avait plus Sa bourse remplie de pièce d’argent !

Après qu’Il réglé Sa note en faisant apparaître de la monnaie de nulle part, Son esprit supérieur fit rapidement le lien entre les deux événements, et Il se résolu de retrouver se jeune garçon. Bon, étant Ancal le Grand, Dieu Suprême de se Monde, Il n’eu qu’a claquer des doigts pour voir l’enfant apparaître devant Lui et pour lui demander des comptes. Craintif mais fier, celui-ci expliqua au Très-Haut qu’il se livrait à une activité de son cru, le « vol ». Au début, le Dieu chercha ses ailes, mais Son cerveau décortiqua bien vite les informations. Très intéressé par l’idée, Il se fit apprendre la technique par Son nouvel « ami ». A la fin, pour le remercier, il fit de lui un Dieu : le Dieu des Voleurs. »


Note : La version Plumienne du récit insiste moins sur l’intérêt d’Ancal pour le métier de Voleur, et plus sur sa curiosité de connaître tous les rouages de la nature humaine.

Nains :

« Quand Spyro le Magnifique eu créer le Soleil, mais alors qu’il ne lui avait pas encore donné d’âme, un jeune et audacieux voleur humain tenta de s’emparer de la pièce géante qui se trouvait dans le Ciel. Avec l’aide de Mages et d’Aigles, il réussi à l’approcher, mais il fut repousser par le Feu Divin, qui l’enveloppa lui aussi. Du coup, quand le Très Généreux divinisa Solos par le biais de ce Feu, le Voleur fut lui aussi Divinisé. »



Nation des Plaines :

« Au temps des Premiers Khans, il advint que le fils d’un très grand homme dû faire ses preuves pour obtenir la fille d’un homme plus grand encore. Faisant preuve d’audace, il réussi à voler tout un troupeau de chevaux à un regroupement ennemi de cavalier. Grâce à cela, les siens remportèrent la victoire et le jeune homme épousa la jeune fille qui était elle-même une personne fameuse, aillant rassemblé le premier des troupeaux de bestiaux, avant de devenir le Khan en son temps. Il gouverna le peuple d’une main ferme, et quand la mort le ravi, Ancale, qui avait été impressionné par sa prouesse, fit de lui le Dieu des Voleurs. »


Elfes :

La liturgie Elfique est à peu près la même que celle des Humains, si ce n’est que l’enfant vole un fruit qu’Ancale venait de ramasser avant de le mettre dans une grande hotte avec d’autres fruits.

Petits :

« Et quand il eu chassé Morna, Ancale donna un esprit aux choses du mental. [...] Au Vol, il fit cadeau d’un nom et d’un état de divinité : il fut [***]. Mais on le surnomma Ansil, affin que son nom véritable ne fut pas connu par les Indignes. »