RPG - Technologie contre Magie
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

RPG - Technologie contre Magie

Entrez dans une longue guerre entre la Technologie et la Magie ! La Science Fiction contre l'Heroic Fantasy ! Qui sera le vainqueur ?
 
AccueilPortailDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -14%
Apple MacBook Air (2020) 13,3″ Puce Apple M1 ...
Voir le deal
799 €

 

 PNJ de Gäerlon Rilvanor

Aller en bas 
AuteurMessage
Gäerlon Rilvanor
Roi Déchu des Îles Pirates d'Earuile
Gäerlon Rilvanor


Nombre de messages : 38
Age : 31
Monde : Numenya
Vocation : Roi, guerrier, errant, obsédé de vengeance
Race : Humain avec du sang elfique dans les veines
Date d'inscription : 22/05/2009

Feuille de personnage
Descriptions de ces compétences / Elément de base:

PNJ de Gäerlon Rilvanor Empty
MessageSujet: PNJ de Gäerlon Rilvanor   PNJ de Gäerlon Rilvanor Icon_minitimeSam 30 Mai - 1:49

Liste récapitulative :



Aelos Xaven :

PNJ de Gäerlon Rilvanor G50710-27fbd4

PNJ de Gäerlon Rilvanor Morian10-ef47bc

Spoiler:

PNJ de Gäerlon Rilvanor Erylle1-ef487f

Spoiler:

Spoiler:

Spoiler:

PNJ de Gäerlon Rilvanor 1d03d984178560_full-b01ca4

PNJ de Gäerlon Rilvanor Meylar10-ef4a25

Spoiler:

PNJ de Gäerlon Rilvanor Cyborg_by_AdoC
Revenir en haut Aller en bas
Gäerlon Rilvanor
Roi Déchu des Îles Pirates d'Earuile
Gäerlon Rilvanor


Nombre de messages : 38
Age : 31
Monde : Numenya
Vocation : Roi, guerrier, errant, obsédé de vengeance
Race : Humain avec du sang elfique dans les veines
Date d'inscription : 22/05/2009

Feuille de personnage
Descriptions de ces compétences / Elément de base:

PNJ de Gäerlon Rilvanor Empty
MessageSujet: Re: PNJ de Gäerlon Rilvanor   PNJ de Gäerlon Rilvanor Icon_minitimeSam 30 Mai - 1:54

Votre personnage :

Nom : Aelos

Prénom : Xaven

Âge : 27 ans

Race : Humains

Clan : Pirates d'Earuile

Emploi : Guerrier, assassin

Description Physique :

Aelos est un jeune homme d'une bonne vingtaine d'année, s'approchant tout doucement de a trentaine, mesurant à peu de chose près un mètre quatre-vingt, pour une soixantaine de kilos. Ses cheveux sont d'un rouge clair, s'approchant du rose sans en être tout à fait, à part quelques mèches blanches, partant d'une vieille cicatrise sur le haut de sa tête. Une mèche plus importante que les autres lui descend d'ailleurs sur le visage, couvrant les vestiges de l'ancienne blessure, ainsi que son oeil gauche. Celui ci, à la ressemblance du droit, parfaitement visible, lui, est d'un mauve sombre, et d’une intensité troublante, encore que ses performances visuelles aient été légèrement troublées par la blessure citée plus haut. Sa peau est plutôt claire, presque pale, et ses traits sont emprunt d'une certaine beauté, selon l'avis de certain, ainsi que d'une délicatesse presque aristocratique, bien qu'il soit issus d'une partie frustre de la société.

Il est souvent enveloppé dans une longue cape à haut col, noire de jais et brodée de motifs argentés. Celle ci le cache tout entier, laissant à peine voir ses pieds, au quels sont passés des bottes de cuir légère, un peu usée par le temps et les voyages, mais tout de même en bon état, car bien entretenues. Toutefois, on peut souvent apercevoir se qu'il y a dessous, quand il se bat, par exemple. Il porte un ensemble pantalon et chemise, eux aussi de couleur sombre, pour mieux s'assortir avec la cape. Encore en dessous se cache un corps souple mais toutefois musclé. Bien proportionner, il semble plus tailler pour les attaques puissantes et rapides que pour l'épreuve de force brute. La cicatrice qui commence sur son visage se continue en partie sur son torse sans poils, encore qu'elle ne coure pas sur son coup, pour venir finir sur son bras gauche où, si on ne la met pas à coter du reste, on peut la prendre pour une simple trace de coupure.

Ses mains, qui apparaissent clairement au bout de ses manches à boutons toujours ouvertes, son quelques peu délicates, mais rendue plus rude par le maniement des armes. Chacune de ces deux mains est ornée d'une paire de bague en acier travailler, oeuvre de maître, qui constituent son seul héritage familiale. Ceux de la main gauche sont les « Crochets du Serpent », c'est à dire qu'ils sont ornés, sur le dessus, de petits crochets d’aciers, dirigés vers l'extrémité des doigts du porteur. Ceux de droites ont les « Yeux du Serpent », et se sont là deux sphères, elles aussi d'acier, qui les surmonte. L’ensemble est ancien, et est se porter à la même main. Ils viennent, du moins en théorie, d’un supposé lointain ancêtre de notre héros, un combattant légendaire nommé « le Serpent »… Ils devraient aussi transmettre sa force à son descendant... Que cela vienne de là ou pas, il n'en reste pas moins que leur porteur actuel les utilise pour faire passer ses pouvoirs.

Venons en enfin à ses armes. Passés à sa ceinture de cuir noire à boucle d’acier repoussée, sont passées deux fourreaux, ceux de ses deux lames, compagnes de sa vie presque tout entière. La première, nommée Aprilos possède un fourreau taillé dans un bois blanc, et gravé de runes dorées. D'ivoire est son manche, sculptée de belle façon. La seconde, portant le nom de Nyx repose dans un fourreau est taillé dans l'ébène le plus noir, et gravé de runes argentée, identique, à part pour la couleur, à celle de l’autre épée. Son manche est d'obsidienne, épousant parfaitement la forme de la main de Aelos tout comme celui de sa compagne. Les lames des deux armes sont ornées d'étranges signes, qui semble différée de l’une à l’autre. Leur tranchant semble toujours parfais, même lorsqu’ils ne sont pas régulièrement affûtée, se qui n’arrive que rarement, car notre héros prend grand soin de ses épées. Autour de sa taille est enrouler un fouet de cuir à manche souple.

Description Mental :

La description mentale de Medar est difficile à réalisée de prime abord, surtout car son esprit d’aujourd’hui est la somme de ceux d’hier. Il y a un peu du garçon insouciant, un peu du jeune rieur, un peu de l’adolescent timide, un peu du jeune homme casse coup, un peu de l’élève patient et un peu du voyageur se recherchant. Le tout mêlée pour former quelque chose d’autre… Quelque chose de plus. Il a garder sont incroyable capacité à rire de toute situation, et surtout de lui-même ou de l’ironie de son sort, même si les années viennent souvent changée l’éclat exubérent en sourire ou demi-sourire… Il prend toujours la vie du bon coté, préférant affronter les difficultés la tête haute et conscient d’elles que le dos voûté, et les yeux regardant non le Destin mais le sol à ses pieds… C’est d’ailleurs toujours une attitude qu’il méprise profondément, estimant que les ennuis ne vous laisseront pas tranquille par ce que vous détournerez le regard d’eux et essayerez de les ignorez…

Il a garder un caractère plutôt calme, non pas réserver, mais pas non plus exubérant comme lors de ses jeunes années, et un certain franc parler, encore que, là aussi, le temps passée, surtout celui au service du Roi en Exil, n’ait pas manquer de modérer cette tendance pour l’empêchée d’être gênante… Il cherche à apprendre de toute les situations qui se présentes, de ses victoires comme de ses échecs, car il n’a jamais eu peur de perdre… Cela fait partie de la vie, ça fait partie du jeu… Car voilà une chose que sa période d’errance lui à apprise : l’existence n’est ni plus ni moins qu’un jeu, et la mort rien d’autre que la fin de la partie. De cette simple constations, il ressort donc que mourir n’est pas une chose à redouter. Quel serait l’intérêt du jeu si on ne pouvait perdre, si on ne pouvait subir de revers ? La vie est un jeu, un jeu d’équilibre sur un fil à certain écart, et le duel, le ballet des lames, est l’instant entre le vide et le fil, quand tout peu basculer…

C’est entre autre pour cela qu’il aime l’art du maniement des épées, le ballet des lames impitoyable. Par ailleurs, il tient plus que tout à ses deux armes, Oropt et Réhéa, encore qu’il soit fort attachée à ses bagues, son seul héritage familiale. Mais ses armes, se sont les extensions de sa propre personne lorsqu’il combat, et elles ont tenu une telle place dans sa vie que rien ne peut venir soutenir cette comparaison… La seule chose qui vient lui faire concurrence est sa seconde grande passion : la mer… L’océan... Et encore, il ne le voit plus si souvent... Il n’a du reste qu’une seule véritable obsession, se venger de Morna, de ceux qui ont décimer les siens !

Passé :

Aelos est né il y a un peu moins de trois décennies, sur une des Îles d'Earuile. Son père tenait une taverne, et sa mère était la « chef », comme on disait. C'est-à-dire qu’elle servait en salle et en cuisine, tout en régnant sur les deux sans partage. Il n’y avait que derrière son comptoir que son mari était vraiment le maître de son établissement. Il fut le premier enfant et le seul fils de ce couple prospère, car se que Madame Xaven régissait, il fallait avouer qu’elle le régissait bien. Elle avait fait autant que son époux pour construire cette auberge, qu’ils avaient bâtis de leurs propres mains, à la sueur de leur front, sans aide extérieur, et c’était pour cela qu’ils en étaient si fiers, pour cela aussi qu’ils y étaient si attachés. Ils eurent encore une petite fille, sept ans après la naissance du jeune Aelos, et celle si fût aimée, tant de ses parents que de son frère, qui était tout heureux de voir venir cette nouvelle amie, et assez éloignée pour ne pas être jaloux d’elle.

Il furent tous deux élever à la dure. Ils étaient bien nourrit, mais ils devaient prendre la part qu’ils pouvaient à l’auberge. Avant que sa petite sœur ne vienne au monde, lui mettant un peu de plomb dans la cervelle, notre jeune héros était un garçon assez insouciant, et assez turbulent, jouant avec tous les petits de son âge, et prenant parfois quelques risque inconsidéré. Le fait de devoir garder sa sœur dès huit ans et de s’en occuper dès neuf, car il était le membre de la famille qui abattait le moins de travail, assez logiquement vu son âge, et donc celui dont on pouvait le plus facilement se passer à l’auberge, tout cela fit qu’il se montra plus prudent et moins téméraire, car il était souvent avec sa très cher sœur, Evi, et il ne voulait ni la mettre en danger, ni lui donner un mauvais exemple. Aillant plus l’occasion d’être loin de l’action, il apprit à rire de tout et de rien, ravi quand sa jeune sœur riait aux éclats avec lui, car il aimait le son de son rire plus que tout.

Se furent des années bénies, même si en grandissant, c'est-à-dire vers l’âge de quatorze ans, alors que sa sœur en avait sept, il commença à attirer l’attention des filles, et par réaction, il développa une grande timidité, car si son enfance l’avait préparer à bien des choses, elle ne l’avait pas préparer à ça. Même si on l’entendait beaucoup moins qu’avant, il resta proche de « sa soeurette adorée », comme il l’appelait lui-même. Elle-même avait une grande admiration pour son grand frère chérit, qu’elle aimait beaucoup, et ce fut donc dans la joie qu’ils grandirent, s’écartant un peu du reste du village, bien qu’ils participent toujours activement à la vie de l’auberge familiale, selon leur capacités respectives. Néanmoins, au fur et à mesure qu’il grandissait, Aelos recherchait une activité plus constructive, plus enrichissante, que de faire les gros travaux, décharger les caisses ou bien encore remplacer son père derrière le comptoir.

Une occasion lui fut donné peut après sont dix septième anniversaire, lorsqu’un homme d’un certain âge vint un jour à la taverne, alors qu’il se reposait, accouder au comptoir, après un dur labeur. L’inconnu, bien qu’aillant une chevelure grisonnante coupée court, avait encore l’air sportif. Il se déplaçait de la démarche souple de ceux qui ont passé des années en mer, et à sa ceinture étaient passées deux armes : l’une avait un fourreau blanc, l’autre un fourreau noir. Il fit forte impression sur Aelos, quand ils causèrent un moment assis devant le bar, car l’homme avait soif. Il se présenta comme « aillant beaucoup naviguée de part le monde ». Il ne dit rien de plus, et si notre héros avait été plus expérimenter, sûrement aurait il comprit la vérité : l’inconnu était, ou du moins avait été un pirate ! En l’état, il ne fit qu’être impressionné par le savoir et la prestance du vieil homme. Il rassembla tout son courage pour finalement lui poser la question qui lui brûlait les lèvres depuis un moment : voulait il lui apprendre à manier l’épée ?

L'homme se montra d'abord réticent, mais finalement, il fini par céder devant l'insistance de Aelos, qui après avoir sauter le pas, fit preuve d’une belle assurance. Le père de celui-ci, heureux de voir son fils trouver une occupation et un but, accepta de lui acheter deux sabres, et le jeune homme se mit au travail. Il s’entraîna avec rigueur, passant de longues heures dans la forêt en compagnie de son maître. Même si au début, il se faisait désarmer en quelques fractions de secondes lors de leurs duels en fin d’entraînement, il fit de rapide progrès, montrant un réel don pour manier l’épée. Même si il ne réussi jamais à avoir le dessus sur son professeur, leur combats duraient parfois pendant des heures, avant que celui-ci ne réussi à vaincre son disciple. Il se montrait d’ailleurs très content des progrès de son apprenti, et si il avait été hésitant au début, il semblait finalement satisfait de la tournure que prenaient les choses. Pendant cette période, Aelos s’éloigna un peu de sa sœur, mais pas trop, car celle-ci venait souvent assister au entraînement de son frère adoré.

Malheureusement, ces deux décennies de bonheur ne durèrent pas. Un jour, alors qu’il revenait de son entraînement, il vit de la fumée noire s’élever au loin. Inquiet, et pensant à un incendie, il pressa le pas, pour finalement se retrouver un peu avant le village, et de le voir en flamme, ravagé d’une façon dont il n’avait même jamais entendu parler. Par un cruel coup du sort, son père avait ramper jusque là et, mourant, il demanda à son fils de le venger, avant de lui remettre les quatre anneaux qu’avaient portés chacun des aînées mâles de leur famille depuis plusieurs générations. Il quitta ensuite le monde dans les bras de son fils. Quand aux autres, il ne les vit point mourir, et ne pu jamais retrouver leur reste, car le feu avait prit dans la taverne même alors qu’elles y étaient, et que l’alcool présent partout n’avait fait qu’aviver encore le brasier destructeur… Jamais il ne revit le visage tant et tant aimée d’Evi, sa petite sœur, et il n’eu aucune tombe ou la pleurée… Plus qu’un souvenir…

Il se serait lancé tout de suite à la poursuite des « bandit », si son maître ne l’avait retenu et ne l’avait convaincu de le suivre. Quand ils furent arrivés jusqu’à leur lieu d’entraînement, l’élève demanda ses raisons à son mentor. Celui-ci lui révéla alors une terrible vérité : c’était des guerrier venus d’un autre monde, et c’était lui qui les avaient guidés jusque là. Prit d’une rage terrible, Aelos attaqua l’homme qui lui avait tout apprit, l’homme qu’il n’avait jamais pu battre. Le combat fut rude, car ils utilisaient les mêmes techniques, et ils se connaissaient parfaitement l’un l’autre. Jamais le vieux pirate n’avait été aussi en difficulté, mais jamais le jeune orphelin n’avait eu une si bonne raison de se battre. Sa rage était telle qu’il ne se souciait plus de lui, ni de se qui pourrait lui arriver : sa famille était morte par le feu. Sa sœur chérie avait quittée se monde, son village brûlait…

Finalement, il tua son maître grâce à cela : en n’évitant pas un coup qu’un homme sensé aurait esquiver. Un de ses sabres vola au loin et se brisa sur un rocher, et il reçu une terrible blessure de la lame noire de son professeur, mais son second sabre se planta dans la poitrine du vieil homme. Il se laissa tomber sur le sol, et sombra dans l’inconscient. Des gens fuyant la destruction les trouvèrent sur leur route et les emmenèrent dans leur fuite. Ils portèrent Medar chez un guérisseur, et le vieux parmi les autres morts. Ils ne savaient pas se qui c’était passer, et ne voulaient pas savoir. Notre jeune héros, lui, fut soigner avec talent, et malgré qu’il n’eu plus goût à la vie, il fini par revenir à lui, puis par guérir. Mais il garda toujours une terrible cicatrice, et son œil gauche avait perdu de son acuité visuelle. Il eu aussi des cheveux blanc depuis se jour, là où l’épée avait frappée son crâne.

Aelos ne fut plus jamais le même. Il passa les bagues familiale à ses doigts, deux à chaque mains, même si ce n’était pas comme ça qu’ils se portaient normalement. Avant qu’on ne l’enterre, il prit les lames de son maître, puis il parti seul, avec quelques provisions. Il avait l’intention de respecter la dernière volonté de son père, en le vengeant dans le sang. Au bout d’une année d’errance, alors qu’il était âgé de vingt et un ans, il dû malheureusement se rendre à l’évidence : seul, il ne pourrait jamais retrouver les pirates qui avaient tués les siens. Il réfléchit longuement. Qui traquait il ? Des meurtriers assassins, pillards, brigands, bandits ! Des mornans... Et qui donc pourrait l’aider à se venger ? Le Roi ! Tous savaient que le Roi avait décrété le repli sur Laderume. Tous savaient aussi qu’il tenait à exterminer les responsables... Leurs buts étaient donc les mêmes, et Aelos alla se joindre à lui. Au vu de ses dons, il fut rapidement accepté.

Aujourd’hui, il n’a pas oublié sa vengeance, et il n’a de cesse de s’entraîner pour réussir... Sur des soldats de Morna, par exemple. Et il continue de suivre son Roi, par ce qu’il sait que sa haine, sa résolution, est égale à la sienne.
Revenir en haut Aller en bas
Gäerlon Rilvanor
Roi Déchu des Îles Pirates d'Earuile
Gäerlon Rilvanor


Nombre de messages : 38
Age : 31
Monde : Numenya
Vocation : Roi, guerrier, errant, obsédé de vengeance
Race : Humain avec du sang elfique dans les veines
Date d'inscription : 22/05/2009

Feuille de personnage
Descriptions de ces compétences / Elément de base:

PNJ de Gäerlon Rilvanor Empty
MessageSujet: Re: PNJ de Gäerlon Rilvanor   PNJ de Gäerlon Rilvanor Icon_minitimeSam 30 Mai - 1:54

Alignement : Loyal Mauvais

Compétences :

-Poison : Aelos possède un pouvoir lié aux poisons. Il peut inoculer un poison mortel ou paralysant, soit par morsure, à condition d'arriver jusqu'a une veine, soit par un baiser. Il possède aussi la capacité de transmettre les poisons à ses armes et ses médiums. A noter qu'il n'utilise que deux types de poisons couramment, mais est capable d'en produire une large palette, encore que beaucoup moins facilement. Ses pouvoirs l'immunisent aussi aux autres poisons qu'on pourrait utiliser contre lui.

-Regard perçant : Les yeux d’Aelos sont capable de percer la brume et les ténèbres, ainsi que de voir à grande distance.

Elément de base : Poison

Animal de compagnie :
Non.

Noms de vos armes :

Aprilos et Nyx

Pouvoirs de vos armes :

-Aura de protection : Le porteur des lames jumelles est protéger des investigations et des attaques mentales, bien que le dit porteur puisse choisir de laisser passer un flux mental.

-Tranche Ciel : Les deux lames sont extrêmement tranchantes, tranchant sans peine dans les matériaux conventionnels.

Autres compétences : Notion de navigation, discrétion, détermination.

Image :

PNJ de Gäerlon Rilvanor G50710-27fbd4

NOTE : Remerciement à Medar pour son aide et sa participation.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





PNJ de Gäerlon Rilvanor Empty
MessageSujet: Re: PNJ de Gäerlon Rilvanor   PNJ de Gäerlon Rilvanor Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
PNJ de Gäerlon Rilvanor
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
RPG - Technologie contre Magie :: Avant de commencer :: Création de personnage :: Présentations des PNJs-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser