RPG - Technologie contre Magie
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 Dieu de la Justice - Méroïs

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Calarenne
Pyromane Fou
Calarenne


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Monde : Numenya
Vocation : Mage du Désert, Protecteur de la Famille Royal, Chef des Services Secrets, Dragonnier, Haut Conseiller du Royaume des Sables, Magicien de la Tour, Membre des Invisibles, Diplomate, Danseur du Feu, Maître des Unités Spéciales, Prêtre de Dlul accrédité par la Réunion Omniévangélique Nouvelle des Feignasses Libres ( ou RONFL )
Race : Très vaguement elfique
Date d'inscription : 17/05/2008

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MessageSujet: Dieu de la Justice - Méroïs   Dieu de la Justice - Méroïs Icon_minitimeVen 21 Mai - 23:18

Fiche des Dieux :

Noms : Méroïs, Alavina (féminin, chez les Elfes), Arimine (féminin, chez les Plumiens et les Earuiliens), Horving (chez les Nains)

Dieu de : La Justice

Couche : Cinquième couche : A l’intérieur des Dimensions

Planète : Numenya

Dimension : Dimension d’Ancale

Description :

Méroïs est le Dieu de la Justice, le Maître du Jugement qui dépasse les notions abstraites de Bien et de Mal. Gardien des Lois Divines, il préside au Tribunal des Dieux quand celui-ci juge bon de se réunir, et consigne les actions des Mortels comme des Immortels dans le « Livre du Juge ». Jadis, il condamna avec ses confrères et consœurs son Créateur à la mort pour « son injuste tyrannie », mais une fois le crime accomplit et l’horreur de leur acte passé, il sombra dans un désespoir profond, comprenant qu’il avait faillit à sa tâche. Après lui avoir fait juré de garder le secret, le Dieu de la Mort lui révéla finalement qu’Ancale n’était mort que pour un temps et qu’un jour il reviendrait à la vie.

Trouvant là une lueur d’espoir dans les ténèbres de son cœur, il se repentit et promis solennellement de ne plus jamais s’écarter du Chemin. C’est depuis ce jour qu’il tient avec tant de rigueur le Livre, afin que son Seigneur puisse juger, s’il le désir, des actes de chaque être de son monde quand il reviendra prendre sa place à la tête du Panthéon. Étant donné son naturel franchement honnête - encore heureux ! - ces vérités, comme les autres, sont souvent perçues par ses fidèles. Car il ne faut pas l’en croire dépourvu ! Dieu au double rôle, il est aussi le Prince de la Vengeance, et si personne n’aime être jugé, tout le monde aime que les autres le soient et plus encore que les - autres - importuns aient ce qu’ils méritent.

Ainsi, la formule « Que Méroïs juge tes actes ! » est très répandue non seulement chez les juges mais aussi dans le langage de tous les jours, avec bien entendu des variations au niveau des cultures. Au niveau des relations, il a, comme tous les Dieux ou presque, des amis et des ennemis. Vieil allié du Dieu du Jour, il est par contre en bien moins bon terme avec la Déesse de la Nuit, car si l’Œil Incandescent du premier aide volontiers à scruter le Monde pour la Justice, la seconde prend, elle, un malin plaisir à dissimuler bien des choses, y comprit diverses crimes.

D’ailleurs, en matière de crimes, sa position est claire : ennemi farouche et déclaré des Dieux du Vol et du Mensonge, il s’entend par contre très bien avec le Dieu de la Mort car, outre la faveur qu’il lui fit il y a longtemps, la Mort est l’Ultime Justicière, et elle est toujours impartiale, même si on peut parfois l’accuser d’être injuste, et à tord de l’avis de Méroïs. Le meurtre est un crime, certes, la guerre pas, ni les autres facteurs de la Mort. Neutre dans ses relations avec les Dieux Élémentaires et leurs frictions, lui qui donna raison à la Déesse de l’Eau mais s’en repentit, il recueil tour à tour la sympathie puis l’agacement de ses frères et sœurs... Un peu comme avec les mortels.

Ceux-ci lui donnent de multiples représentations. Chez les Elfes, c’est un être féminin, Alavina, femme belle, mais sévère, aux yeux qui transpercent l’âme et voient la vérité. Elle est dotée de la Balance de la Justice et du Poignard de la Vengeance. Impitoyable, elle est aussi respectée que crainte. Les représentations Laderumiennes conservent la Balance, mais l’arme c’est singulièrement allongée dans la main de la déité devenue masculine. Tour à tour Lame Sanguine et Épée de Miséricorde, elle prend plus d’importance que le jugement lui-même. Car, c’est bien connu, la justice Laderumienne est la plus équitable du monde : elle punit tout le monde, les innocents comme les coupables.

Homme élancé au visage intemporel, il trouve là-bas une bonne dose d’adorateurs. Cela pourrait paraître étrange, pour le plus grand repaire de hors-la-loi du monde, mais c’est en fait totalement logique : les Voleurs implorent sa clémence. Certaines versions remplacent l’un ou l’autre objet par une torche enflammée, généralement le double-plateau. Les Hommes des Plaines jettent eux totalement aux orties la Balance, et la remplace par une lance, donnant un air plus inquiétant encore au Dieu. Quant aux Earuiliens et aux Plumiens, s’ils ont en commun le nom de leur Déesse, Arimine, ainsi qu’une apparence physique générale, celle de la belle femme au regard océanique vêtue d’argent, le reste diverge.

Plus souple pour ceux de Pluma, elle y retrouve son double-plateau de l’équité et gagne la corde du pendu, subtil rappel des lois de la Principauté. Au contraire, la version des Îles est peut-être la plus impitoyable de toutes, avec le Pal Divin portatif dans la main - et souvent en fond dans les tableaux (en grande taille et occupé, cela va sans dire) - légèrement tempéré par l’arme aux deux visages, probablement empruntée aux habitants du Désert. Horving, le Patriarche barbu des Nains, pourrait presque luter en matière de dureté, car, malgré la Balance qu’il tient, son visage est taillé au couteau et son autre main se plait à se refermer sur un marteau, une hache ou autre masse d’armes tout à fait convaincante.

Les Petits adoptent en surface l’image des Nains et les Trolls n’ont pas la moindre idée de loi autre que celle du plus fort. En outre, le Dieu dispose d’un clergé assez bien fournit. Inventeur de la notion de Paladins, il en a presque autant que de Prêtres, qui sont généralement juges dans la plupart de cultures. Parcourant le monde pour protéger les faibles, venger les veuves ou les orphelins et faire appliquer la justice, les Paladins de Méroïs sont un peu l’archétype du genre : quand on pense au paladinat, on pense généralement à eux, peut-être parce qu’ils sont de loin les plus nombreux et parmi les plus actifs.

Histoire liturgique :

Laderume :

« Quand Ancale le Grand eût prit le contrôle du Monde et l’eût façonné à sa convenance, Il s’avisa qu’il y avait de nombreuses inégalités entre Ses créatures, tant mortelles que Divines. Comme Sa charge ne Lui permettait point de surveiller toutes choses Lui-même, Il créa Méroïs, Celui-Qui-Juge-Et-Rend-La-Justice, puis Ilui confia la Balance du Jugement, la Flamme du Bûcher et l’Épée de Vengeance.

[…]

Pourtant, quand vint le temps de l’indigne assassinat d’Ancale, Méroïs suivit ses frères et sœurs dans leur folie, les aidant à tueur leur Père. Sa juste sagesse vint toutefois le hanter, et il fini par se repentir. Alors l’Épée de la Vengeance devint également l’Épée de Miséricorde, pour marquer le droit de chacun au pardon. »
Extrait du Grand Livre de la Liturgie : Méroïs de la Justice (Laderume)

Nains :

« Quand Ancale eût prit le contrôle du Monde et l’eût façonné à sa convenance, il s’avisa qu’il y avait de nombreuses inégalités entre ses créatures, tant mortelles que Divines. Comme sa charge ne lui permettait point de surveiller toutes choses lui-même, il créa Horving, Celui-Qui-Juge-Et-Rend-La-Justice, puis il lui confia la Balance du Jugement et la Hache de Justice.

[…]

Pourtant, quand vint le temps de l’indigne assassinat d’Ancale, Horving suivit ses frères et sœurs dans leur folie, les aidant à tueur leur Père. Sa juste sagesse vint toutefois le hanter, et il fini par se repentir. Alors, il jura de se garder par sa rigueur, et de ne plus jamais faillir. »
Extrait de l’Ablÿrion, Tome Deux: « Des autres Dieux Bénéfiques » (Nain)

Nation des Plaines :

« Quand Ancale eût prit le contrôle du Monde et l’eût façonné à sa convenance, il s’avisa qu’il y avait de nombreuses inégalités entre ses créatures, tant mortelles que Divines. Comme sa charge ne lui permettait point de surveiller toutes choses lui-même, il créa Méroïs, Celui-Qui-Juge-Et-Rend-La-Justice, puis il lui confia l'Épée de Vengeance et la Lance de Justice.

[…]

Pourtant, quand vint le temps de l’indigne assassinat d’Ancale, Méroïs suivit ses frères et sœurs dans leur folie, les aidant à tueur leur Père. Sa juste sagesse vint toutefois le hanter, et il fini par se repentir. Alors, il jura de se garder par sa rigueur, et de ne plus jamais faillir. »
Extrait du Livre des Khans (Nation des Plaines)

Pluma et les Îles d'Earuile :

« Quand Ancale eût prit le contrôle du Monde et l’eût façonné à sa convenance, il s’avisa qu’il y avait de nombreuses inégalités entre ses créatures, tant mortelles que Divines. Comme sa charge ne lui permettait point de surveiller toutes choses lui-même, il créa Arimine, Celle-Qui-Juge-Et-Rend-La-Justice, puis il lui confia la Balance du Jugement et la Corde de Justice.

[…]

Pourtant, quand vint le temps de l’indigne assassinat d’Ancale, Arimine suivit ses frères et sœurs dans leur folie, les aidant à tueur leur Père. Sa juste sagesse vint toutefois a hanter, et elle fini par se repentir. Alors, elle jura de se garder par sa rigueur, et de ne plus jamais faillir. »
Extrait du Livre des Vérités Religieuses (Pluma)

Elfes :

« Quand Ancale eût prit le contrôle du Monde et l’eût façonné à sa convenance, il s’avisa qu’il y avait de nombreuses inégalités entre ses créatures, tant mortelles que Divines. Comme sa charge ne lui permettait point de surveiller toutes choses lui-même, il créa Alavina, Celle-Qui-Juge-Et-Rend-La-Justice, puis il lui confia la Balance du Jugement et l'Épée de Justice.

[…]

Pourtant, quand vint le temps de l’indigne assassinat d’Ancale, Alavina suivit ses frères et sœurs dans leur folie, les aidant à tueur leur Père. Sa juste sagesse vint toutefois a hanter, et elle fini par se repentir. Alors, elle jura de se garder par sa rigueur, et de ne plus jamais faillir. »
Traduction épurée du Livre du Savoir des Elfes : la Religion

Petits :

« Et quand il eu chassé Morna, Ancale donna un esprit aux choses du Monde spirituel. [...] A la justice il fit cadeau d’un nom et d’un état de divinité : il fut [***]. Mais on le surnomma Méroïs, afin que son nom véritable ne fut pas connu par les Indignes. »
Extrait du Livre du Savoir et du Pouvoir (Petits)
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